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La Cerisaie
d'Anton Tchekhov


répétitions : août/octobre 2010
création : octobre 2010

dans le cadre du Festival Automne en Normandie
20 et 21 octobre 2010
Scène nationale Evreux-Louviers
4 novembre 2010
Le Rayon Vert
à Saint Valéry en Caux
6 novembre 2010
Théâtre l'Eclat
à Pont Audemer
9 novembre 2010
Centre Culturel Juliobona
à Lillebonne

du 25 novembre
au 11 décembre 2010

Théâtre de l'Athénée-Louis-Jouvet
à Paris

du 6 au 7 janvier 2011
Maison de la Culture de Bourges
Scène nationale

du 12 au 13 janvier 2011
Comédie de l'Est
Centre Darmatique National de Colmar

15 janvier 2011
Théâtre La Couple à Saint Louis



Mise en scène & Scénographie
Paul Desveaux

Assistant à la mise en scène
Alexandre Delawarde

Avec
Vincent Debost, Daniel Delabesse,
Amandine Gaymard, Fany Mary,
Christophe Giordano, Maëlle Poésy,
Christophe Grégoire, Jean-Claude Jay,
Justine Moulinier, Océane Mozas,
Baptiste Roussillon, Alexandre Delawarde

Chorégraphie Yano Iatridès
Création lumière Laurent Schneegans
Musique Vincent Artaud
Costumes Laurence Révillion

traduction André Markowicz et Françoise Morvan



Dossier   -    Photos



"Je vois en La Cerisaie un rêve éveillé pour le spectateur. Un songe à la fois drôle et tragique. Un de ces rêves que l'on fait au milieu de la nuit et qui ressemble terriblement à la réalité. Au point que quand nous nous réveillons, il est difficile de définir une frontière entre notre imagination prolixe et les murs de notre chambre. Quand je suis plongé dans ces rêves, j'entrevois l'avenir, les angoisses attenantes, les présences fantomatiques… je ris parfois. Ces rêves compensent ou complètent les pensées inachevées de ma propre conscience.

On pourrait alors sous-titrer La Cerisaie par Le songe d'un monde à venir. Comme un reflet de nos doutes, de nos peurs du futur et de nos riens le temps d'une représentation."

Paul Desveaux


coproduction
Maison de la Culture de Bourges/Scène Nationale
Arts 276/Festival Automne en Normandie
Scène nationale Evreux-Louviers

avec la participation artistique du Jeune Théâtre National et de l'ENSATT

Pollock - poème dramatique
de Fabrice Melquiot

du 25 au 29 janvier 2011
Théâtre national de Marseille
La Criée

8 février 2011
Espace Culturel Boris Vian
scène conventionnée
Les Ulis

10 février 2011
Théâtre de Chartres
scène conventionnée

26 février 2011
Théâtre du Casino Barrière
Deauville

du 8 au 10 mars 2011
Le Volcan
scène nationale du Havre

Dossier   -    Photos   -    Vidéo

Mise en scène & Scénographie
Paul Desveaux

Assistant à la mise en scène
Alexandre Delawarde

Avec
Serge Biavan Jackson Pollock
Claude Perron Lee Krasner

Chorégraphie
Yano Iatridès

Création lumière
Laurent Schneegans

Musique
Vincent Artaud

Costumes : Laurence Révillion

Plasticienne : Solène Eloy

images des Etats Unis : Santiago Otheguy

Régisseur son : Johan Allanic
Régisseur général/plateau : Pierre-Yves Leborgne









C'est au cours d'un voyage en 1997 à New-York, que j'ai découvert les tableaux de Jackson Pollock à l'occasion d'une exposition rétrospective de ses œuvres au Whitney Museum.
J’ai été fasciné par la force du mouvement, l’immensité des tableaux. Ils donnaient à voir une abstraction sensible. J'aimais particulièrement la période des drippings.
Il est fort probable que les lignes, la constellation des couleurs, avaient sur moi un grand pouvoir d'évocation. Ce même pouvoir que l'on retrouve dans la nature quand, dans l'organisation des arbres, des brins d'herbe, et plus communément dans la forme des nuages, nous apercevons un motif. Alors s'ouvre un pan de notre imaginaire que nous pourrions laisser courir à l'infini puisque aucune forme reconnaissable ne saurait l'arrêter.

Le texte de Fabrice Melquiot propose un face à face entre Jackson Pollock et sa femme Lee Krassner. Entre le génie de Jackson Pollock et l'esprit de Lee Krasner, entre l'inhibition du premier et la frustration de la seconde, entre la difficulté de penser l'abstraction et le geste instinctif du peintre, entre le cowboy de l'Arizona et la petite juive de Brooklyn… il y a ce chemin chaotique qui nous mène à la mort de Jackson Pollock en 1956 à l'âge de 44 ans.

Depuis longtemps, je travaille avec la chorégraphe Yano Iatridès, avec le désir d'inscrire le geste et le corps dans un processus théâtral. C'est autant la personnalité de Pollock que son procédé artistique et le mouvement qu'il engendre, qui m'ont intéressé.
C'est pourquoi la forme de ce spectacle nécessitera un travail en plusieurs étapes afin de comprendre comment la scène peut rendre le temps de la création plastique. Les acteurs devront se confronter à la peinture, au mouvement, à la matière.
Dans l'alternance des énonciations et des temps, nous ferons voyager le spectateur entre les évocations, le souvenir, et le présent de son geste créatif.

Paul Desveaux




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Coproduction
L’héliotrope
Maison de la culture de Bourges/Scène Nationale
et le soutien de Hi-Pi (groupe Hi-média)

Hasta que la muerte nos separe
Jusqu'à ce que la mort nous sépare

de Rémi De Vos

Création : septembre 2009
El Camarin / Buenos Aires
Argentine




Mise en scène & Scénographie
Paul Desveaux

Assistante à la mise en scène Amaya Lainez

Avec
Céline Bodis
Javier Lorenzo
Mirta Busnelli

Réalisation des images Santiago Otheguy

Création lumière Paula Grandio

Musique Vincent Artaud

Chargé de production en Argentine
Maxime Seugé
assisté de
Lucile de Calan

Chargée de production en France
Céline Bodis
assisté de
Amaya Lainez

Production déléguée en France
Emmanuelle de Varax pour L’Héliotrope


Lors du décès de sa grand-mère, un homme retrouve sa mère qu’il n’avait pas vue depuis plusieurs années. Les retrouvailles sont difficiles. C’est aussi l’occasion pour lui de revoir son amour de jeunesse, qu’il n’avait pas oublié. Malgré les griefs que chacun s’adresse et la survenance d’un incident qui pourrait tout compromettre, les retrouvailles auront finalement lieu.

La pièce parle d’amour, de mort et du temps qui passe (n’ayant, somme toute, pas d’autre alternative).

Il y est aussi question de mensonge, de haine, de désir et de folie. D’autres choses encore sans doute, mais qui m’échappent.

Rémi de Vos




L'héliotrope est associée à la Compagnie Mû
pour la création ce spectacle.